Il n'y a que de l'acier à sa place

L'exposition s’est inspirée de diverses pratiques socioculturelles qui concernaient les mûriers du Caucase du Sud. L’écorce du mûrier pluriannuel était largement utilisée pour fabriquer l'instrument ancien – « Thari » - dont les cordes étaient traditionnellement faites de fil de soie. Les installations de l'exposition ont révélé le lien entre cette histoire à plusieurs niveaux et les matériaux associés aux mûriers du Karabagh. Le dernier lot de textiles produit par la Compagnie de la soie d’Erevan, actuellement liquidée, a été utilisé pour une installation architecturale, créant ainsi une manipulation de l'éclairage dans l'espace.

Participants : Rouzbeh Akhbari et Felix Kalmenson

Soutenu par : Conseil des arts du Canada, Conseil des arts de l'Ontario et Musée national de la soie

L'exposition a été précédée d'une résidence d'artistes au musée.